Ukraine : Les forces russes ont exécuté des soldats ukrainiens qui se rendaient
Les individus responsables de ces exécutions devraient être tenus de rendre des comptes
Depuis l'invasion à grande échelle de l'Ukraine par la Russie en 2022, les forces russes ont commis une litanie de violations, y compris certaines qui devraient faire l'objet d'enquêtes en tant que présumés crimes de guerre ou crimes contre l'humanité. L'invasion a également marqué le début d'une nouvelle campagne visant à éradiquer toute forme publique de dissidence en Russie. Par le biais de nouvelles lois et à d'autres mesures, les autorités russes ont intensifié leurs attaques contre la liberté d'expression, l'activisme civique, le journalisme indépendant et la dissidence politique. L’objectif apparent est de faire taire toute opposition publique à la guerre, toute critique du gouvernement ou toute expression de non-conformisme social. Des nouvelles lois de censure criminalisent toute critique de la guerre menée par la Russie contre l'Ukraine, ou toute remise en question des discours officiels et de la propagande d'État. La guerre et la mobilisation générale qui a suivi ont entraîné un exode considérable de la population hors de la Russie. Les principaux dirigeants de l'opposition politique sont derrière les barreaux, tout comme un nombre croissant de personnes ayant critiqué les autorités et la guerre.
7 août 2024
8 juillet 2024
Les individus responsables de ces exécutions devraient être tenus de rendre des comptes
Les forces syriennes et russes ont également utilisé des armes incendiaires
L’Ukraine devrait enquêter sur leur utilisation apparente par les forces armées ; l’utilisation de ces mines par les forces russes se poursuit
Imposition d'un programme scolaire russe et propagande anti-ukrainienne
Cette attaque met en évidence à nouveau l’importance du traité interdisant ces armes
Les individus responsables de ces exécutions devraient être tenus de rendre des comptes
L’arme explosive a tué 12 personnes, dont cinq enfants, dans cette ville ukrainienne
Oleg Orlov, coprésident d’une ONG colauréate du prix Nobel de la Paix, a été condamné à deux ans et demi de prison